Spotted: J’aime le Liberty

Vendredi soir je suis passée à la Fnac des Halles, ma Fnac chouchou pour son rayon Loisirs créatifs bien achalandé, un régal à parcourir. Je n’ai pas repéré énormément de nouveautés, mais j’ai tout de même deux livres à vous proposer. Je commence aujourd’hui par « J’aime le Liberty », traduction d’un ouvrage japonais. J’ai oublié de prendre une photo de la couverture comme une andouille, donc vous aurez droit à une photo officielle prise sur Internet.

Comme son nom le laisse supposer, il s’agit de vêtements et accessoires faits exclusivement en Liberty. Si vous aussi vous aimez le Liberty (c’est mon cas ^^) il y a de quoi se faire plaisir avec les jolies photos. Et puis le bon point c’est qu’on voit ce que les différents imprimés (ils donnent les noms) rendent une fois transformés en vêtement. Raison pour laquelle j’ai pris cette photo :

J’ai été très agréablement surprise par le rendu de ce tissu (le Caesar si je ne me trompe pas — non je ne l’ai pas noté à partir du livre…) une fois transformé en longue robe d’été à volant. Je l’avais déjà repéré mais je ne voyais pas du tout comment l’utiliser, avec ses grand motifs. Là ça rend vraiment super bien, la longue robe permet d’exploiter la taille du motif, et sa coupe ample à volant rappelle la légèreté des plumes et casse un peu le côté très structuré de l’imprimé. Ok, peut-être que j’intellectualise un peu là, mais je trouve ça très sympa. Une idée à retenir, donc…

Mis à part le médium employé, les modèles sont assez classiques pour du livre japonais. Personnellement rien ne m’a spécialement tapé dans l’oeil par rapport à ce que j’ai déjà. Vous pouvez voir plus de photos chez des couturières enthousiastes qui se sont laissées tentées : Lalouandco, Elle vit sa vie, Flo’p.

Petit week-end à l’étranger

Le week-end dernier nous nous sommes offert deux petites journées de tourisme avec des amis. C’était très chouette ! Voici une énigme très facile (qui explique également pourquoi je parle de ce voyage ici) : à partir de cette photo qui montre des achats que j’ai fait durant ce week-end, devinez où nous sommes partis.

Voici la réponse, pour ceux qui ne serait pas accro comme moi au Liberty : nous sommes partis à Londres ! ^_^ Nos amis ont vécu plusieurs années là-bas et nous ont fait faire un petit tour de la ville. Bien entendu ce petit tour se devait d’inclure une visite à Liberty, qui est tout de même un grand magasin emblématique de la ville même si l’on ne coud pas, et qui est très joli. Je posterai les photos dès que j’aurais eu le temps de faire un peu de tri. Ceci dit ce n’est pas là que j’ai craqué sur tous ces jolis tissus. Mes emplettes ont été faites le matin chez Shaukat, qui fait des prix beaucoup moins élevés que ce que l’on trouve en France (et chez Liberty). Petit constat qui m’a faite rire : il n’y avait pratiquement que des françaises dans la boutique ! On était au moins trois groupes de deux françaises. Je ne suis même pas sûre que des anglophones soient passé(e)s pendant que j’y étais. ^^; Serions-nous spécialement accro au Liberty en France ? Toutes les françaises qui font de la couture qui passent par Londres se retrouvent-elle chez Shaukat ?

La boutique ne paie pas de mine de l’extérieur, j’ai été surprise. La plupart des tissus est en fait au sous-sol, du coup le rez-de chaussée fait un peu vide. Choisir ce que j’allais prendre fut très difficile même si j’avais fait un repérage sur le site avant, il y avait tellement de belles choses ! Je me suis forcée à me restreindre aux tissus de saison, ce qui a aidé à pas mal limiter le choix (pas de Tana Lawn => moins d’imprimés possibles). Voici le détail de ce que j’ai ramené :

1. Liberty, 2. Liberty Mollybish, 3. Liberty Martha Grace, 4. Liberty

Deux velours côtelés (j’adore ce type de tissu et ça n’est pas évident d’en trouver dans le coin, encore moins des jolis), un mélange coton-laine et du twill. J’ai du boulot maintenant ! J’espère pouvoir rapidement transformer tout ça en jolis vêtements, histoire de rentabiliser l’achat et d’avoir de jolies tenues d’hiver à me mettre. Vu les températures qu’ils prévoient, j’ai hâte d’avoir ma jupe en laine ! Mais pour le moment je vais aller me coucher, parce que bien entendu à passer le week-end dehors par ce froid, je suis tombée malade (d’où le peu de photos de ce post, je voulais en rajouter mais je n’ai pas le courage).

Collier Menasse, v.2

Ce samedi je me suis retrouvée avec un peu de temps devant moi, du coup j’ai décidé de m’attaquer à un projet qui traînait depuis un moment : la refonte de mon collier en Liberty Menasse (voir la version 1 ici, en bas de la note). Je n’étais pas super contente de mon premier essai, je sentais que je ne le porterais pas tellement. J’ai donc imaginé une version 2, façon sautoir cette fois. Voici la chose :

Et encore une fois je ne suis finalement pas satisfaite… ^^; C’est pour ça qu’il y a encore une boucle bizarre en haut, je n’ai rien coupé. J’avais une idée bien précise de ce que je voulais en tête. Seulement le tout est très léger, vu que les perles ne pèsent rien et que le yo-yo est en tissu. Du coup le lien bleu, qui n’est lui-même pas très lourd, n’est pas entrainé par le poids du pendant et a tendance à n’en faire qu’à sa tête. D’autant qu’au départ il était enroulé autour d’une planchette en carton, donc il avait des plis. Ce matin ça à l’air d’aller mieux de ce côté ceci dit. Deuxième point de désaccord entre ce collier et moi : l’anneau qui fait la jointure entre le cordon et le reste. Je pensais qu’il était en métal mais semble fait dans une autre matière, très légère elle aussi et facilement déformable. Et pour je ne sais qu’elle raison il passe son temps à se tourner sur la tranche alors qu’il devrait rester de face, ce qui fait que le yo-yo se retrouve au mieux de travers, au pire de profil ou à l’envers. Voici une version portée où le yo-yo est à peu près droit mais où l’on voit que l’anneau commence à partir de travers…

Du coup va-t-il falloir improviser une version 3 ? Que pensez-vous de cette version déjà, est-ce que je reste dans quelque chose du même genre ? J’hésite entre trouver un moyen de régler cette histoire d’anneau ou carrément oublier le cordon bleu et passer à une chaîne argentée…

Fournitures : cordon bleu, perle claire en syntétique, anneau rond @La Droguerie ; yo-yo en Liberty Menasse @Shaukat ; perle foncée en bois @Loisirs & Création ; connecteurs achetés au Japon

Mentalist et Liberty

Une petite photo pour étayer mes propos de l’autre jour. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas pensé à la chercher le jour même pour illustrer l’article (article que je vais de ce pas éditer du coup).

En la revoyant je comprends pourquoi je l’ai repéré si facilement : c’est du Liberty Lauren ! J’aime beaucoup cet imprimé, c’est l’un des premiers Liberty que j’ai aimé et donc appris à reconnaître.

(j’ai trouvé la photo sur le net via Google, je ne sais pas trop sur quel site. I found the picture on the Internet through Google, I don’t remember where it comes from)

PS : la vente BikNok a commencé !

On sait qu’on est accro quand…

Comment savoir que ça y est, c’est fichu, vous êtes bel et bien accro à ce qui touche aux tissus ?

Facile ! Lorsque vous vous écriez, au milieu du premier épisode de Mentalist, faisant fi des gens parfaitement normaux (entendez non atteints par le virus couture) qui vous entourent : « Oh mon dieu c’est du Liberty ! Elle porte un chemisier en Liberty, j’en suis sûre ! »… Là si vous n’êtes pas entourée que de personnes très proches, c’est fichu, vous être grillée. ^^ Dans mon cas heureusement il n’y avait que cher et tendre.

J’ai ensuite fait un petit Google pour vérifier que je ne suis pas folle, et j’ai pu constater que d’autres accros comme moi ont relevé ladite chemise. Cela fait plaisir de savoir que l’on n’est pas seule. Et vous, ça vous est déjà arrivé de relever le tissu utilisé pour un vêtement dans un film ou une série ?

Edit du 6 mars : voici une petite photo témoin pour illustrer ce que je dis.

Je suis désolée de n’être pas plus présente en ce moment, mais je suis en recherche très active d’un emploi dans mon domaine initial, et cela me prends pas mal de temps et d’énergie. D’autant que ma moitié a commencé son nouveau job, qui l’oblige à se (nous) lever très tôt. Mais ne vous en faites pas je ne disparais pas !